Candidatez pour le prochain Salon d'Arts en Artisans

C’est pendant ses études d’Arts Plastiques à l'Université de Lorraine de Metz que Clotilde Bailly rencontre l’art textile. Irrésistiblement attirée par les métiers d'arts, la broderie s'impose logiquement dans son parcours et elle intègre l'École de Broderie d'Art de Lunéville.

Le Brevet des Métiers d'Art (BMA), obtenu en 2017, lui permet d'être embauchée à Paris dans plusieurs ateliers de broderie Haute-Couture et de travailler pour Chanel, Jean-Paul Gaultier ou encore Givenchy.

A la recherche d'une nouvelle manière d'exercer son métier, Clotilde Bailly quitte Paris en 2020 et retrouve Metz. L'Atelier Échos naît l'année suivante, d'abord en collaboration avec une amie brodeuse, puis, depuis 2023, en solitaire.

Depuis sa création en 2021, l’Atelier Echos est mû par une profonde admiration pour les métiers d’art et savoir-faire français mais aussi japonais. Clotilde Bailly s’emploie à l’élaboration d’échantillons singuliers qui innovent de par leurs motifs, leurs fournitures ou leur matière même.

Elle travaille également à la création de kimonos minutieusement teints, brodés et assemblés à la main ; et mélange les techniques traditionnelles (crochet de Lunéville, aiguille, perles) et contemporaines (découpe laser, matériaux créés sur-mesure).

L’eau, les minéraux, le Cosmos sont autant d’éléments qui guident sa réflexion vers l’esthétique de ces pièces d’exception.

• contact.atelierechos@gmail.com
• https://www.instagram.com/atelier.echos/
• https://atelier-echos.fr/

Camille Bo est une céramiste passionnée, formée au centre de formation international EMA CNIFOP en Bourgogne en 2015. Après avoir obtenu son CAP en tournage, elle s'est spécialisée dans la recherche d'émaux, développant une expertise unique qu'elle continue de décliner.

Initialement, Camille a développé la technique des émaux cloisonnés sur porcelaine. Au fil de ses explorations, elle a fait évoluer sa production vers le grès, cherchant d'autres contrastes et des inspirations plus ethniques.

Toutes ses créations sont façonnées à la main, principalement au tour et à la plaque. Son atelier est situé à Jarville-la-Malgrange.

• atelier.camillebo@gmail.com
• www.camillebo-ceramiste.fr

Le matériau utilisé pour la vannerie que l’artiste pratique est l’osier.

Il est blanc, ou bien brut avec diverses couleurs d’écorces, diverses odeurs.

Ses pièces prônent le mouvement et la légèreté, elles sont graphiques, toutes en courbes.

Marion laisse le matériau la guider.

Il l'accompagne alors vers l’exploration de formes plus organiques.

En ce sens, elle ne me considère pas comme une pure artisane car elle ne cherche pas à le contraindre.

Tresser devient alors une sorte de voyage initiatique, où la surprise, la rencontre et les émotions se mêlent aux sens.

• www.vannerie-nomade.com
• https://www.instagram.com/vannerie.nomade/
• https://www.facebook.com/vannerie.nomade/

La rencontre avec la terre en 2018 marque un tournant dans la carrière de Lorène à Londres. Elle rejoint un programme BTEC à l'université de Kensington and Chelsea College pour devenir céramiste.

Travaillant d'abord depuis un petit coin d'atelier qu'elle s'est aménagée chez elle, elle décide de laisser libre cours à sa pratique en rejoignant un atelier à Wembley où elle commence la recherche d'une esthétique imprégnée de mouvement et de forme répétée. Fascinée par la lumière, les couleurs et les contrastes, sa pratique l'amène à s'intéresser aux émaux et aux possibilités infinies que cette recherche scientifique représente pour elle.

Lorène Cavagna travaille la céramique dans des projets architecturaux intégrant le traitement de surface et la réalisation de sculptures. L’artiste explore le mouvement et la répétition à travers une recherche menée depuis plus de deux ans. Développant et testant inlassablement ses émaux, créant des couleurs riches et vibrantes aux variations infinies, l’atelier atteint à ce jour une palette de plus de 250 glaçures. Elle recherche à chaque haute cuisson de nouvelles combinaisons, teste et compose au gré des résultats.

• lorenecavagnaceramique@gmail.com
• https://www.lorenecavagnaceramique.com/
• https://www.instagram.com/lorene_cavagna/

Couple franco-japonais de designers et architectes d'intérieur, Ils ont créé la marque Charcoal Eskimeït dédiée à leurs créations de bijoux contemporains et objets de décoration autour de l’art traditionnel du charbon de bois japonais.

Fascinés par la beauté de ce matériau, mais aussi par ses propriétés (densité, dureté), ils sont allés en 2004 à la rencontre des artisans charbonniers de la région de Kishu au Japon où ils ont été initiés aux secrets de ce savoir-faire ancestral.

Ce charbon de bois Binchotan est produit par la combustion d’un bois très dense (chêne vert) dans un four en terre durant deux semaines jusqu’à 1 300°C. Le minéral obtenu est incroyablement dur et ne craint pas l’eau.

Employé à l’origine comme un combustible des plus performant, réservé à la famille Impériale, il est de nos jours surtout utilisé pour ses propriétés de filtration et de purification.

N’existant pas au Japon d’artisanat d’art dérivé de ce matériau brut, Ils ont eu l’idée de le détourner totalement de son usage traditionnel.

Au fil de leurs expérimentations, ils ont apprivoisé la matière, en inventant des techniques pour la travailler, la découper, la tailler, la polir, la sertir, afin de la mettre en valeur telle une pierre précieuse.

Ils puisent leur inspiration dans sa beauté naturelle, sa pureté d’un noir profond, la spécificité de chaque branche, des nervures de l'écorce, des dessins des anneaux du bois, des nœuds et craquelures.

Au fil des collections, ils associent le charbon au laiton, à l’argent 925, à la feuille d’or, à la feuille de platine et aux tissus traditionnels japonais.

Membres des Ateliers d’Art de France depuis 2015, toutes leurs créations sont des pièces uniques qu’ils conçoivent et réalisent à la main dans leur atelier.

• contact@charcoal.eskimeit.com 
• https://charcoal.eskimeit.com
• www.instagram.com/charcoal.eskimeit

Après plusieurs années à partager un atelier et des horizons communs, Marine Chevanse, Cannelle Preira et Jamila Wallentin – toutes trois sculptrices d’objets portables, entre autres – ont rassemblé leurs énergies au sein de BRIO. Leurs bagues, broches et colliers questionnent des rapports nouveaux entre ces objets et les personnes qui s’en saisissent. Toutes trois résidentes aux ateliers de la ville de Strasbourg, au Bastion XIV, elles partagent les techniques du métal, auxquelles elles ajoutent d'autres matériaux tels que le textile, le papier et la pierre. 

Depuis sa création en 2020, BRIO a participé à deux reprises au Salon Résonances et présenté son travail à la Galerie Hectare à Bruxelles en 2022. En 2023 BRIO était l’invité d’honneur de la Biennale Bijoutiers Créateurs de Saint-Jean- Saint-Maurice-sur-Loire.

• m.chevanse@hotmail.fr
• www.marinechevanse.com
• https://www.instagram.com/marin_chevanse/

• cannelle.preira@gmail.com

• jamilawallentin@gmail.fr
• www.jamilawallentin.com
• https://www.instagram.com/jamilawallentin/

"La beauté sauvera le monde", écrivait Dostoïevski. C'est cette quête de beauté et de sens qui guide le travail de Nicolas David. Entre Lyon et l'Ardèche, il façonne des œuvres uniques qui réinterrogent notre lien à la nature et à l’humanité.

Inspiré par les interactions entre le minéral, le végétal et l’animal, son travail explore les harmonies et contrastes de la nature. Chaque pièce devient une réflexion sur la fragilité de notre existence dans un monde en perpétuel mouvement.

Ses créations sont guidées par trois valeurs essentielles : Ouverture, en créant des ponts entre technologies innovantes et traditions artisanales séculaires ; Respect, à travers l’utilisation de matériaux nobles et naturels, dans une démarche visant à préserver l’environnement et les relations humaines ; et Sensibilité, en cherchant à émouvoir par des détails subtils qui célèbrent la fragilité de notre monde et de ses habitants. Il s’attache également à établir des ponts entre le passé, le présent et le futur, en honorant le patrimoine tout en s’ouvrant à de nouveaux récits, plus justes et plus durables.

Son procédé de fabrication allie innovation technologique et savoir-faire manuel. Chaque œuvre est façonnée avec soin, où chaque détail compte, pour inviter à la contemplation méditative et à une reconnexion profonde avec la nature.

• nicolasdavid.art
• Instagram @nicolasdavidceramics

Kim Détraux est diplômée des Beaux-Arts de Metz depuis 2020. Ayant la chance d’apprendre à tourner dans l’atelier de poterie de Bo Filarsky, elle partage ensuite un atelier à Bliiida en compagnie de
Marine Couderc et de Marie Donois Steib, deux céramistes avec qui elles montent l’Échelle atelier-galerie. Un atelier dédié principalement à la céramique, où elles y animent des cours et où elles exposent régulièrement leurs travaux. 

À côté de cette pratique, Kim Détraux développe des projets collectifs à dimensions variables où elle fabrique des contenants et cuisine des mets afin de mener des repas performatifs où elle invite les personnes à manger dans ses créations. Elle cherche à transformer le moment du repas en une expérience sensorielle et gustative. La manière de s’alimenter est au centre de ses recherches, qu’elle développe dans le cadre d’expositions et de résidences.

En céramique, elle grave ces pièces qu'elle tourne, à partir de dessins de chimères qu'elle représente dans des situations de vie telles que la cueillette de plante, la cuisine et la cérémonie. Ces personnages, légèrement fantasques, peuvent rappeler les iconographies médiévales par l’imagerie animale, les astres et les plantes. Elle expérimente les engobes de terre de récolte avec lesquelles elle décore l'extérieure de ces pièces.

• k.detraux@gmail.com
• kimdetraux.fr
• Instagram : @kimdetraux

Inspiré par la nature et l'architecture, Crepuscule.studio propose des créations sur mesure qui transforment les espaces en véritables œuvres d'art lumineuses,apportant chaleur et élégance à tout intérieur. De la lampe à poser en allant jusqu'aux grands projets sur mesure, venez découvrir les créations de Yoann.

• www.crepuscule.studio
• www.instagram.com/crepuscule.studio
• www.facebook.com/crepuscule.studio

Son parcours est constitué de deux sphères, les sciences humaines et les métiers d'art. Roxane passe 15 ans à accompagner des personnes en difficultés sociales et psychiques, à cheminer avec elles dans leur projet et obstacles. En parallèle, elle développe une pratique dans les travaux d'aiguille mais surtout dans l'envie de concevoir son textile. De la couture, à la peinture sur textile, la sérigraphie, la broderie, elle s'essaye à plusieurs techniques.

Jusqu'au jour où simultanément elle découvre le shibori et la teinture naturelle. Très vite, elle s'y plonge pleinement et se consacre à cette seule activité. En 2018, Roxane se forme à la teinture naturelle et à l'impression auprès de Michel GARCIA. Elle poursuit chez lui avec un stage pratique et y découvre la démarche d'expérimentation. Elle multiplie les essais dans son atelier à la recherche de couleurs et motifs. Le lin s’impose dans sa pratique pour sa dimension locale, son histoire, ses propriétés écologiques et surtout ses caractéristiques.

Le shibori l'amène au pliage et par là, au volume. Après une période dans l'ameublement, elle se retrouve dans le travail mural et sculptural. Au fur et à mesure, nait une alchimie entre la teinture naturelle, le shibori, le pliage et le voile de lin.

Partir du tissu blanc et l'investir dans sa couleur, son motif et son volume. Dans sa démarche de création, l’artiste essaye d'être au plus proche de la matière, de ne faire intervenir que le travail de la main. Observer le voile de lin, le comprendre, le mouvoir afin de trouver une synergie entre ses possibilités et les siennes.

• www.la-bihe.com
• https://www.facebook.com/LaBihe/
• https://www.instagram.com/la_bihe/

Née en 1985 à Paris, Laure est passionnée d'art dès son enfance, elle envisage d'abord de devenir photographe avant de se tourner vers le verre.

En 2010, Laure choisit de devenir souffleuse de verre, une passion qui la conduit à quitter Paris . Après deux ans d’apprentissage au CERFAV, elle perfectionne sa technique au Danemark avec Tobias Mohl. Sa soif de découverte l’amène en Australie, où elle passe trois ans au sein de la JamFactory à créer et à continuer de se former.

En 2016, grâce à une bourse, elle étudie au Corning Museum aux Etats-Unis au côté de Karen Willenbrick, explorant de nouvelles techniques de sculpture. De retour en Europe, elle rejoint le collectif Gent Glas en Belgique.

En 2019, Laure devient enseignante à la Haute École des Arts du Rhin à Strasbourg, transmettant son savoir-faire pendant trois ans. Elle vit et travaille désormais à Sélestat, en Alsace.

• hello@laurefradin.com
• www.laurefradin.com
• https://www.instagram.com/laure.fradin/

Passionné de coutellerie depuis sa plus tendre enfance, Jean-Claude s’initie à la forge à Xaronval (88) en 2011, le salon de Coutellia à Thiers (63) en 2012 marquera un tournant déterminant.

Il enchaine les formations, Initiation à la métallurgie et à la forge de coutellerie à Nontron en 2013. CAP de Ferronnier d'Art en CIF en 2017. Une opportunité se présente, il quitte son emploi et passe le CAP de Coutelier à Thiers en 2021 où il découvre les Arts  de la table et les finitions haut de gamme.

Par la suite il travaille sur Thiers occupant tous les rangs possibles. En 2022 il crée son entreprise. JCH Coutelier est née ! Jean-Claude dessine les lignes de ses couteaux avec un référentiel technique haut de gamme. Fiabilité et qualité sont les maîtres mots.

• jch.courrier@gmail.com
• https://jch-coutelier.com/
• https://www.instagram.com/jch.coutelier/
• https://www.facebook.com/p/Jch-Coutelier

Chloé Grevaz et François Dubois se rencontrent lors de leur formation dans les ateliers de l’école National de Verre à Yzeure (03). Il suivront trois années de formation avant d'être embauchés par les Cristalleries Royal de  Saint Louis, où ils continueront de peaufiner leurs gestes et techniques. Lors de ces huit années en manufacture, François, assisté de Chloé, obtient le titre d'un des Meilleurs Ouvriers de France en 2011.

En parallèle, ils  suivront les enseignements d'Allain Guillot, MOF domicilié en Dordogne. C'est en mai 2014 que la société Les infondus voit le jour. Ils quittent le milieux salariale pour l'indépendance. Depuis ils ne cessent de pratiquer leur art sur les routes d'Europe lors de démonstrations nomades et dans leur atelier mosellans. Aujourd’hui leurs activités tournent autour de l'expérimentation archéologique, la production de fac-similé historique et la production d'art de table  contemporain dessiné par leur soin.

• Site internet : https://lesinfondus.com/
• Boutique : https://lesinfondus.com/categorie-produit/contemporaine/
• Facebook : https://www.facebook.com/lesinfondus/
• Instagram : https://www.instagram.com/les_infondus/

Artisan d'art et créateur passionné, son parcours est une fusion entre une appétence innée pour la construction d'objets et de systèmes, et une quête constante de maîtrise des techniques et technologies de fabrication.

Issu d'une famille de techniciens, Sylvain a dès son plus jeune âge été immergé dans un environnement propice à l'éveil de sa créativité. Ses premières incursions dans le monde technique se sont faites à travers des activités extra-scolaires liées à des sujets techniques et scientifiques, révélant ainsi sa fascination pour l'univers de la conception et de la fabrication.

Ce penchant naturel l'a conduit à suivre des études d'ingénieur en génie mécanique. Au fil des années, alors qu’il poursuivait son cursus académique, il a cultivé une sensibilité particulière pour l'art nouveau et pour les formes galbées dans la construction des produits et des bâtiments. Ce mariage entre l'aspect fonctionnel et l'esthétisme a profondément influencé sa vision artistique.

Son parcours professionnel l'a ensuite mené à travailler pendant une quinzaine d'années dans l'industrie, où il a acquis une expérience riche et diversifiée. Ces années furent également l'occasion de parcourir le globe dans le cadre de missions professionnelles à l'étranger, enrichissant ainsi sa vision du monde et son inspiration artistique.

Fort de cette expérience, il a choisi de donner une nouvelle orientation à sa vie en créant sa propre entreprise. Aujourd'hui, en tant qu'artisan d'art, Sylvain s’épanouit dans la fabrication de pièces fonctionnelles qui portent une valeur esthétique voire artistique. Son objectif est de marier l'excellence technique avec la beauté des formes, offrant ainsi à chaque création une identité unique et intemporelle.

• www.ateliermachot.fr
• www.instagram.com/ateliermachot/

Maïa Mentrel est diplômée d’un master de design global spécialisé dans la couleur à Strasbourg depuis 2016. Elle se forme ensuite auprès du designer Tzuri Gueta à Paris. Elle y découvre l'artisanat d'art et apprend une technique brevetée complexe à mettre en œuvre à base de silicone et de textile. Pendant les trois années où elle y travaille, elle s’occupe du pôle bijou avant de devenir cheffe d’atelier.

Au fur et à mesure, l’idée de vivre de son travail dans un milieu rural devient plus qu’une envie. Originaire des Vosges, le désir de mettre à l’honneur les savoir-faire qui s’y trouvent a été le déclic pour la création de Tilko. De retour dans les montagnes de sapins, Maïa toque aux portes des Entreprises du Patrimoine Vivant locales (label EPV) dans le but d'obtenir des chutes de qualité provenant de savoir-faire de haute volée. Tilko est la rencontre entre ces savoir-faire et une volonté de créer autrement. La sérendipité est son maître mot dans son processus de création. Elle se laisse surprendre par les propriétés des matières récupérées, qui la fascinent et la façonnent. Elle a été prise de passion pour les fils de coton récupérés sous forme de bobines de Garnier-Thiebaut. Elle a développé des savoir-faire uniques qui lui permettent de réaliser du velours aux motifs colorés divers et variés et des tableaux aux fils compressés.

• tilko.studio@gmail.com
• https://tilko.fr
• Instagram.FB :  @tilkostudio

Dès son enfance, la nature a su captiver sa curiosité. Les arbres majestueux, dotés d'essences variées et souvent millénaires, l'ont inspiré à façonner le bois, cette matière noble.

Parallèlement à ses études de commerce, Jules a eu l'opportunité d'apprendre cet art auprès d'un tourneur sur bois, enrichissant grandement ses compétences et son expérience. Cette immersion lui a permis de fusionner sa passion pour le bois et son parcours universitaire.

Ce croisement unique de savoir-faire a donné naissance à quelque chose de spécial : Le Stylotier

• www.lestylotier.fr
• Le Stylotier (Facebook)
• https://www.instagram.com/le_stylotier/

Le travail de Marie questionne le vivant, la façon dont il se développe, se multiplie, s’organise.

Elle est fascinée par la façon dont les formes naturelles semblent apparaitre du néant en dehors de toute idée ou volonté humaine. Marie s’interroge sur la façon dont ces formes dépourvues d’intelligence et de parole se développent, communiquent, se transformant au contact les unes des autres allant parfois jusqu’à l’hybridation.

Souvent, les compositions qu’elle propose naissent d’un souvenir mais elle aime garder une part importante de spontanéité et de hasard afin de ne pas intellectualiser trop le processus. Par ailleurs, l’absence de formes clairement figuratives permet de laisser planer le doute quant à ce qui est présenté incitant ainsi le spectateur à interpréter à sa manière ce qui est proposé en faisant appel à ses propres souvenirs et sensations.

La plasticité de l’argile, le jeu possible avec les matières, la découverte constante de nouveaux possibles sont quelques-uns des aspects qui l’ont attiré vers la création céramique. Ainsi, dans les objets d’usage comme dans les sculptures, Marie ne cherche pas à reproduire des pièces identiques mais plutôt à laisser jouer le hasard, les accidents, afin que chaque pièce trouve son identité propre.

Ses sculptures sont souvent issues d’assemblages entre différentes formes et matière. Elle aime jouer avec les oppositions de textures et de couleurs mêlant les aspects bruts et rugueux aux surfaces délicates ou brillantes.

La céramique est pour elle un véritable terrain de jeu et c’est toujours joyeusement qu’elle se met au travail en sachant qu’une fois de plus, elle va faire des découvertes et être émerveillée par les possibilités infinies de l’argile.

• marie.steib@gmail.com
• https://www.instagram.com/marie_do_st/

Après un premier cursus universitaire dans le domaine médical Matthias Stein décide en 2019 d'un changement radical en se tournant vers une de ses premières passions : les livres. Il partira en Normandie pour se former et obtenir un CAP puis un BMA en Art  de la reliure et de la dorure.

Suite à ces 3 années de formation, il revient en Lorraine, sa région d’origine pour y ouvrir son atelier de reliure : La dernière page. Depuis l’été 2023 il est installé à Jarville-la-Malgrange où il a intégré le pôle Métiers d’Arts de la Cité du Faire. Il apprécie particulièrement ce tiers-lieu dédié à l'artisanat d'art et au réemploi pour l'émulation créative et les collaborations qui en découlent.

Matthias Stein propose toutes les facettes du métier : de la reliure traditionnelle à la reliure de création. Il aime particulièrement mettre son savoir-faire au service de ses clients pour des projets à fortes valeurs sentimentales (documents familiaux, livres d'enfance) et envisager avec eux la meilleure façon de mettre en valeur et de conserver leurs livres ou documents abîmés : remise en état, nouvelle reliure, boîte de conservation... tout est possible ! Mais l'atelier propose également de nombreux objets de papeterie et de cartonnage entièrement réalisés à la main et personnalisables, que ce soit pour le quotidien (porte-cartes, carnets de notes, carnets à dessins...) ou pour les grandes occasions (albums photos, livres d'or...).

Bien que très attaché aux codes et à l'esthétique de la reliure traditionnelle, il aime laisser libre cours à sa créativité en s'essayant à de nouvelles techniques et matériaux : utilisation de marqueterie de pailles, de placage de bois, réemploi de chutes de papiers... faisant naître des objets uniques tantôt colorés et graphiques, tantôt plus sobres et élégants.

• stein.reliure@gmail.com

Après un diplôme des Métiers d’Art en Textile à la prestigieuse Ecole supérieure des Arts Appliqués Duperré (Paris), Angélique Zrak obtient un BTS Design de Mode ainsi que des CAP en maroquinerie et tapisserie qui lui  permettent d’explorer de nouvelles techniques et matières. Récompensée par le prix « SEMA jeune » en 2009 pour la création de tissages d’exception, son activité se développe au sein des Maisons de Haute Couture durant  6 ans. Devenue entre autre responsable de collection textile puis formatrice, cette échantillonneuse d’idées décide en 2016 de reprendre le fil de ses créations en entremêlant avec excellence tissage d’art et passementerie,  ce qui lui vaudra d’intégrer les « Ateliers d’Art de France » en 2017, puis le 1er Prix du Patrimoine Grand Est des Ateliers d’Arts de France en 2021.

Baignée par la matière et la couleur, cette passionnée de Tissage réinvente son métier qu’est la passementerie, en en développant des accessoires et des bijoux. A travers ses métiers à bras, sa signature moderne et délicate s’exprime dans des créations uniques s’accordant aux exigences des ouvrages d’exception et aux confections sur-mesure les plus prestigieuses.

• angelique.zrak@gmail.com
• www.angeliquezrak.com
• insta et facebook: @angeliquezrakcreation